Le laisser-aller : « Personne n’est là pour me voir »
Personne n’est là pour voir votre pyjama Hello Kitty, vos dessous de grand-mère et vos cheveux en bataille, personne non plus pour remarquer votre épilation approximative et votre hygiène douteuse, alors vous vous en donnez à cœur joie ! Grosse erreur. D’abord parce qu’on ne sait jamais qui peut sonner à votre porte (si, si, même par erreur…). Ensuite et surtout parce qu’avant de plaire à quiconque, il va falloir faire des efforts pour vous plaire à vous-même et apprendre à prendre soin de vous. Le laisser-aller permanent est non seulement addictif, mais il entraîne bien souvent une perte de confiance en soi et un état de « déprime »… Et ça, c’est avant de trouver l’amour. Une fois que vous l’aurez trouvé, ce sera aussi le meilleur moyen de le faire fuir…
Le pessimisme : « De toute façon, je finirai vieille fille »
Oui, vous êtes célibataire, oui c’est dur d’être seul(e) et de n’avoir personne pour vous dire « je t’aime » et vous prendre la main, personne pour partager les nuits blanches, les moments calins, les rêves, etc.
Mais au cas où vous ne le sauriez pas, vous êtes loin d’être le (la) seul(e) dans ce cas et il y a pire comme tragédie.
Personne n’est là pour voir votre pyjama Hello Kitty, vos dessous de grand-mère et vos cheveux en bataille, personne non plus pour remarquer votre épilation approximative et votre hygiène douteuse, alors vous vous en donnez à cœur joie ! Grosse erreur. D’abord parce qu’on ne sait jamais qui peut sonner à votre porte (si, si, même par erreur…). Ensuite et surtout parce qu’avant de plaire à quiconque, il va falloir faire des efforts pour vous plaire à vous-même et apprendre à prendre soin de vous. Le laisser-aller permanent est non seulement addictif, mais il entraîne bien souvent une perte de confiance en soi et un état de « déprime »… Et ça, c’est avant de trouver l’amour. Une fois que vous l’aurez trouvé, ce sera aussi le meilleur moyen de le faire fuir…
Le pessimisme : « De toute façon, je finirai vieille fille »
Oui, vous êtes célibataire, oui c’est dur d’être seul(e) et de n’avoir personne pour vous dire « je t’aime » et vous prendre la main, personne pour partager les nuits blanches, les moments calins, les rêves, etc.
Mais au cas où vous ne le sauriez pas, vous êtes loin d’être le (la) seul(e) dans ce cas et il y a pire comme tragédie.
D’autant qu’à passer votre vie à vous plaindre d’être célibataire, vous risquez… de le rester. Une pleurnicheuse ou un Calimero, ça ne plaît à personne : ça fait fuir ! À bon entendeur.
La procrastination : « Demain, j’arrête… de tout remettre à demain »
La procrastination n’est pas le seul apanage des célibataires. Mais ces derniers ont d’autant plus de mal à s’en extirper qu’ils n’ont souvent personne pour les rappeler à l’ordre…
Résultat : on laisse traîner la vaisselle, le courrier, les projets, et souvent les bonnes résolutions… comme celle de se bouger un peu pour trouver l’âme sœur, de forcer un peu le destin, de s’inscrire sur un site de rencontres, d’aborder un(e) inconnu(e) dans la rue…
La flemme : « Ce n’est pas là que je rencontrerai l’amour »
Petite sœur de la procrastination, la flemme est la meilleure ennemie du célibataire. Cependant l'amour n'est jamais livré sur un joli plateau d’argent pendant qu’on se prélasse sur son canapé bien moelleux !
Résultat : le célibataire refuse souvent des invitations sous prétexte qu’il a « la flemme », et puis, il se dit que « ce n’est pas ce soir que je rencontrerai l’amour »… Et il a raison : ce n’est certainement pas ce soir qu’il rencontrera l’amour… s’il reste bien lové dans son canapé.
La routine : « Demain, je ne peux pas, il y a Secret Story »
On l’entend et on le lit partout : la routine est l’ennemi numéro 1 du couple. Mais ce qu’on dit moins souvent, c’est que la routine est aussi l’ennemi juré du célibat. Parce qu’ils ont beau se plaindre de leur quotidien, les célibataires tiennent bien souvent à leur petite routine : leur chez eux, leur confort, leurs petites habitudes.
Le hic : ils finissent par s’« enfermer » dans un quotidien répétitif et deviennent du même coup de plus en plus réticents à l’idée de laisser quelqu’un venir perturber cet équilibre. La solution : lutter contre les petites habitudes, les manies du quotidien, voir du monde, sortir, changer de cadre et d’horizons dès que vous le pouvez. En somme, vous ouvrir au monde et ne pas rester enfermé(e) dans le vôtre.
